" Je dédie ce livre à Madame Alphonse Daudet, ma mère bien-aimée, qui aida et encouragea son mari dans les bonnes comme les mauvaises heures, créa autour de lui cette atmosphère de tendre recueillement où il put vivre, travailler, mourir, à l'abri d'une âme pure, rêveuse et tranquille.
1er mai 1898."